Précarité et circularité …
Ou comment fonctionne le secteur associatif Français d’aide à la précarité … Côtoyant ce milieu de près, je pense pouvoir en faire une analyse pertinente, en appliquant une méthode simple, utilisée par les scientifiques et les ingénieurs, dite de l’approche systémique, explication ici.
Je vais pour ce faire utiliser quelques exemples; le premier étant celui d’une église de la proche banlieue parisienne, qui, une fois par semaine, distribue le soir un repas chaud et un colis alimentaire.
Deuxième exemple, beaucoup plus facilement vérifiable, il s’agit d’un quartier de Paris, dans le XIIIe arrondissement, celui de la Pitié Salpêtrière : on a, d’un côté, le boulevard de l’hôpital et une partie du Ve arrondissement, avec pas moins de 7 associations différentes qui distribuent repas et petits déjeuners; de l’autre côté, le boulevard Vincent Auriol, qui comptabilise 6 associations de plus, qui ont les mêmes missions, sans oublier les hôtels sociaux et hébergements d’urgence.
Un SDF ne quitte jamais le quartier, car, allant d’une association à l’autre , toutes les offres sont à sa portée.
Et pour ceux qui ne sont pas sédentarisés dans cet arrondissement parisien ? Même schéma que ci-dessus, sauf que vous allez d’une arrondissement à l’autre, d’une zone à l’autre de Paris. Même en restant dans le sud de la capitale, en vous levant à six heure du matin vous arrivez à midi sans avoir rien fait d’autre que vous laver et vous nourrir. Systèmes circulaires verrouillés, enfermement, compartimentation ???
Cela renvoie à ma critique du film ‘le train transperce neige’, chacun doit rester à sa place et surtout de ne pas en sortir. Je ne joue pas le rôle de juge dans ce petit article dont le but n’est pas de dénoncer tel ou tel acteur du secteur, mais de décrire de façon synthétique un système, qui, bénéficiant d’aides publiques à foison, captent les gens et les maintiennent dans un système fermé. Comme le disait de façon fort à propos Elina Dumont, chroniqueuse radio et ancienne SDF, le secteur associatif, c’est « Touche pas à mon pauvre » et tant que cela durera, la situation des gens en grande précarité n’évoluera pas, au contraire, elle empirera.
Sortir du cercle
Je pense qu’il y a des moyens de sortir de ce cercle. C’est avant tout une démarche personnelle. Rencontrer d’autres personnes que des travailleurs sociaux et les gens que l’on rencontre habituellement, ceux qui sont dans le cercle, permet de sortir de ce système du ‘social’ : manger, prendre sa douche et dormir.
Un exemple simple, pour avoir un chez soi et sortir de la rue, est d’aller à la messe le dimanche, parler avec d’autres personnes, se faire connaître, leur montrer que l’on est sociable. Ça permet de sortir du cercle de la précarité et permet de penser positivement. De rencontres en rencontres, au fils du temps, on peut trouver quelqu’un qui peut vous aider.
Pour sortir du cercle du ‘social’, on peut aussi partager une activité, un hobby, une passion, que l’on peut pratiquer avec des personnes qui, au fils du temps peuvent vous aider psychologiquement à penser positivement et vous aide à reprendre confiance en vous.
L.D
Visites au Louvre
Le début de la première visite, animée par Valérie, était la partie médiévale. Situé à l’angle sud-ouest de l’aile Sully, le Louvre médiéval permet de découvrir les vestiges des fossés et du donjon de l’ancienne forteresse du Louvre. La suite est la visite de la salle Saint Louis.
Nous avons vu les étages du Louvre par la suite, son histoire jusqu’à nos jours : les restes du Louvre d’Henri II, la chambre de Louis 13 et Louis 14, et pour finir les appartements de Napoléon III.
La deuxième visite, animée par Antony, était celle des antiquités Égyptiennes. Quelques exemples de salles visitées sont les salles de la Crypte du Sphinx, le Nil, l’écriture et les Scribes, Matériaux et Techniques, Le Temple et encore d’autres salles.
L’ambiance était très bien, décontractée. Aussi, le Louvre est très grand, les salles sont longues, il y a beaucoup d’escaliers et de couloirs. Valérie et Antony ont pu nous montrer leurs talents d’orateurs.
J’ai bien aimé les œuvres comme la statue de Ramsès II, Le Dieu Osiris. Avec nos photos nous sommes entrés dans l’histoire …
L.D
les bons conseils de Manu de La Bagagerie
Bientôt, Manu donnera ses bons tuyaux pour survivre dans la rue. Pour le moment, son conseil de la semaine (du mois?) : quand on a trouvé un bon endroit où dormir, on dort … Et il l’applique en ce moment.
L’étoile filante – Klaus Nomi
Né Klaus Sperber en Allemagne le 24 janvier 1944, il a commencé sa vie professionnel comme pâtissier. Après avoir étudié l’opéra comme soprano, il se lance dans le rock tendance New wave a New York. À 28 ans klaus fut repéré par David Bowie dans les cabarets (et fut choriste avec Joey Arias dans une émission télévisée le 14 décembre 1979). Décédé le 6 août 1983 a l’âge de 39 ans du sida.
Son nom de scène ‘ Nomi’ l’anagramme du titre d’une revue de SF.
Ses albums :
– ‘klaus Nomi’ 1981
– ‘Simple man’ 1982
– ‘Encore’ compile des 2 albums en 1983
– ‘Za bagdaz’ 2007 album posthume : récupération de chutes de studio de 1979 à 1983.
J’ai voulu faire découvrir autour de moi ce grand artiste qui m’a moi-même intrigué, et qui, j’ai constaté, reste trop méconnu; voilà le pourquoi de cet article.
Manu de La Bagagerie
Fashion SDF
Le style, la classe
très jolie écharpe & tissu à motifs
Belles couleurs
Tout est dans le détail : col, fermeture…
Avec humour
Tenue de nuit pour homme chic
style baroudeur urbain
Avec le temps va, tout s’en va…
Le temps, qu’est-ce donc que le temps, celui qui inexorablement passe, selon notre conscience ?
Et oui, il en est ainsi, nous avons notre propre perception du temps, des secondes qui forment des minutes, puis des heures, des jours des mois, des années, etc., l’ensemble formant une vie, qui peut sembler longue ou courte, selon notre impression, mais qui, lorsque l’on, observe plus attentivement est effroyablement court devant le temps de notre terre ou encore de notre univers.
L’âge de l’univers est estimé à 14 milliards d’années, on le sait par de savants calculs mathématiques, entre autre, en observant l’expansion de l’univers par des satellites, comme Plank, notre vaisseau spatial, notre planète est âgée de 4,54 milliards d’années, les premiers hominidés, sont apparus eux il y a 4 millions d’années et nous autre homo sapiens-sapiens, il y a 200.000 ans, représentant 0,0013% de la durée d’existence de l’univers.
Allons plus loin, je suis scientifique, pas un grand ponte, un simple ingénieur, mais selon les lois de la physique, le temps n’existe pas. Comment cela ?
Et bien simplement, on se basait avant cela sur la physique Newtonienne, la formalisation mathématique du système galiléo-newtonien, le temps est défini comme un cadre absolu, un repère inaltérable, mais depuis est apparue une simple phrase, « Tout est relatif », Albert Einstein a révolutionné la physique par cette simple théorie en 1905, démolissant, ainsi, l’idée que le temps était une constante universelle, passé, présent et futur ne sont plus absolus, le temps tel qu’il s’écoule, ne l’est que sur terre, une simple théorie, vérifiée depuis, par l’expérience des muons, démontre que le temps n’est que ce que nous ressentons et pas une vérité absolue à notre univers.
Le voyage dans le temps est donc possible, scientifiquement, pas techniquement, car les moteurs capables de telles accélérations n’existent pas et tout humain qui atteindrait de telles vitesses, serait inexorablement transformé en steack haché…
A.M
Robben Ford, génie de la six cordes
Ce mardi 4 février, s’est produit à la cigale, le génial Robben Ford et son groupe. Que dire de ce savant mélange de blues et de jazz sudiste ?
Le groupe, pour commencer : Ricky Peterson, le claviériste, originaire du Minnesota, ayant collaboré avec de nombreux musiciens de la scène jazz, il nous a ravis les oreilles avec ses envolées lyriques, rappelant par de nombreux aspects le grand et regretté John Lord, claviériste mythique de Deep Purple. Wes Little, mal nommé, tant le batteur de la formation est impressionnant, tant physiquement, avec son gabarit de première ligne, que par son sens du rythme, rock, blues et jazzy. Brian Allen, le bassiste/contre bassiste, capable de s’emballer dans des riffs d’une folie totale.
Et enfin, Robben Ford lui-même, né en 1951 en Californie, il est issu d’une famille de musiciens, il débuta par le saxophone, puis, débuta la guitare à l’age de 18 ans, tout seul, sans cours, il fréquenta dans les années 60 le Fillmore and Winterland auditoriums de San Francisco où il cotoya Jimi Hendrix, Eric Clapton, Cream, Led Zeppelin, Albert King, B.B. King et tous les grands noms du blues des sixties. Il débute alors sa carrière, il a à son actif, à ce jour, plus de trente albums studios et en live, sans oublier sa participation avec de nombreux groupes et artistes, parmi lesquelles KISS, Jimy Hendrix ou Miles davies, dont il fut le guitariste de scène dans les années 80.
Donc, ce mardi, devant une cigale pleine de connaisseurs, la prestation du groupe fut à la hauteur du personnage, à la fois fluide et technique, ce n’est pas simplement un guitariste qui fit la prestation, mais bel et bien une formation musicale complète, au sein de laquelle chaque musicien fut mis en avant dans ses prestations solos. Robben Ford fait partit de ces musiciens qui comptent, son dernier album, dont la tournée mondiale débutant à Paris pour la sortie de son nouvel album « a day in Nashville », capable de remplir une salle sans la moindre publicité, qui ne sont pas médiatisés, mais, qui néanmoins font progresser la musique chaque jour et dont les prestations parlent d’elles même.
A.M