Châteaux de Champs sur Marne
Une premier visite depuis que je fais partie du club :
journée ensoleillée, châteaux du 17ème avec son parc de 85 hectares…
M.
Meilleur moment de la semaine : visite au château de Champs sur Marne
Donc je m’attends a voir un monsieur qui arrive a se transformer en chauve souris avec une cape : hélas non! C’était le guide, celui qui nous accueille et qui nous explique tout ce qui s’est passé depuis le 17ème siècle.
Frank
Raphaëlle Boitel, elle a imaginé L’oublié(e) à la Villette
Pour définir le spectacle de Raphaëlle Boitel, je pense que justement il ne faut pas le définir mais laisser son imagination s’imprégner des acrobaties, des figures du spectacle, de la musique.
Tout se mélange, c’est à la fois grand comme spectacle car les déplacements se font dans l’espace qui est immense. Mais c’est aussi pointilleux car les enchaînements des mouvements sont nombreux et intenses.
Ce spectacle est un voyage de la vie, dans une vision fantastique.
L.D
Septième
Il est venu et m’a toujours accompagné
A l’écoute, jamais embêtant, voilà Grégoire
Avec lui, tout va bien, ce n’est jamais la foire
De son mental, vous pouvez vous en imprégner
Dédicacé à Mr. C.
Signé: Ecritor
Fin de voyage ???
Et oui, tout finit par arriver, même la fin de ce voyage initiatique, trop long à mon goût, avec la reprise professionnelle et une rencontre exceptionnelle, qui bouscule une vie.
Un métier d’ingénieur qualité, une rencontre qui chamboule le quotidien, au point de trouver une motivation nouvelle… Bref, en peu de temps des changements radicaux qui font qu’à un moment précis ce sentiment de tourner en rond, que cette circularité infernale touche à sa fin. Cette envie de normalité, repartir en vacances normalement, passer mes week-end en Corse etc. Bref, retrouver ce qui faisait ma vie de ce qui me semble il n’y a pas si longtemps, qui paraissait si loin et si inaccessible il y a encore peu de temps, et qui est dorénavant à porter de main.
Tout prend fin, chaque cycle, même le parcours des neuf cercles de l’enfer.
Sixième
Venez à elle sans crainte, elle est sympa, jolie
Jamais déçus car elle en a du répondant
Pour chacun, hier comme demain, elle a des plans
Regardez- la voguer sur la mer qu’est la vie
Dédicacé à Mm. H.
Signé: Ecritor
Cinquième
Être sur un balcon, en plein soleil, quel bonheur!
Dites- moi, nous ne sommes pas bien là, décontractés…?
Passe un nuage… le moment pour siroter un thé
Ça vous rend tous jaloux ? Eh bien, soyez en pleurs
Signé: Ecritor
Un pied entre deux mondes…
Un pied ici, l’autre là-bas, pas facile d’allier les deux; d’un côté mes élèves – je donne des cours particuliers à des étudiants et bachoteurs en physique et math appliquées, ma copine, et de l’autre, celui que l’on est obligé de subir en permanence, celui de cette précarité, sur laquelle les médias et responsables associatifs font pleurer le citoyen lambda pour lui soutirer quelques billets.
Lorsque j’entends dorénavant le mot « solidarité » j’ai envie de hurler; ce mot a été vidé de son sens. La définition du larousse est claire, ce n’est en aucun cas ce que les campagnes d’affichages colportent, relayées par les médias, mais bien un système de gratuité totale entraînant un effet pervers, non pas celui du « s’il vous plait, merci », mais celui du « tu me dois ». Un travailleur au SMIC s’en sort moins bien qu’un bénéficiaire du RSA avec ses 16 euros et des poussières par jours.
Un pied dans deux mondes différents, distincts l’un de l’autre, avec une frontière bien réelle, celui de la normalité de la vie.