ce qui me tient
Cette femme blanche qui a mon corps a appris
Que noire sur blanc nous pouvions écrire notre amour
Mon cœur penche, est épris
De voir les élans que nous trouvions sans détours.
Faut t’il croire au dépit
Qui déclenche les vagues de mon cœur
Quand mon âme penche aux soucis
Et débranche les pages de mes peurs.
Savoir ramasser les morceaux détruits
De notre histoire si belle naguère
Avoir amassé ces anneaux de buis
Sans pouvoir, se mêlent dans cette guerre.
L’incertitude et l’ennui, qui naissaient hier
De nos sourires choisis et de nos amours véritables
La certitude et l’appui, qui faisaient nos cœurs si fiers
Je viens mourir d’oublis, te fais une cour honorable.
Je viens courir aujourd’hui, pour tes atours véritables
Et te demande ma mie, de croire en mes sentiments affables
Te considère et t’épie, afin que tu croies en mes fables.
Mamar