Cent dix-neuvième
« Tout va bien aller, nous vous avons entendu… »
Ah, quel bonheur, les haut-parleurs fonctionnent toujours
Les sourires réapparaissent malgré nos doigts gourds
« On a tout ce qu’il faut pour ce genre d’imprévu… »
« Aie confiance, crois en moi… »: ça me rappelle quelqu’un
La suite la semaine prochaine… Signé: Ecritor
L’ humanitarisme face à l’humanisme dans la société
Bien le bonjour, fidèles lecteurs de ce blog, je prends ici quelques minutes pour vous présenter un extrait d’une intervention que j’ai été amené à réaliser il y a quelques temps déjà dans un cercle de réflexion sur notre société. Le sujet, l’humanitarisme face à l’humanisme dans la société m’est très cher et je tiens à le partager.
Petite précision, je vous passerais mon introduction et une partie de la conclusion pour des raisons de facilité de lecture et je précise qu’un passage n’est en rien destiné à la lectrice principale et grande manitou de ce blog. Pour moi, la sensibilisation à l’art n’est en rien du barbouillage.
« Trop souvent, la cause humanitaire, en particulier dans son action au sein même de notre société se révèle plus destructrice que constructive, marginalisant et désocialisant ceux que nous appelons désormais sans abris.
Si tel n’était pas le cas, comment jugerions-nous les actions menées au cours de ces trente dernières années au vue de la situation actuelle ?
Le 22 novembre 1993 était créée le samu social, annoncé comme la solution au problème, hors le nombre de sans-abris à augmenté de 84% entre 2001 et 2012 ; mais aussi l’action menée par les associations dites de terrain que je ne nommerai pas, dont l’action ne consiste, en guise d’insertion, à rien d’autre que de faire faire du coloriage et jouer aux petits chevaux à ceux qu’elles sont censées aider.
« L’homme est le terme unique d’où il faut partir et auquel il faut tout ramener. », disait Denis Diderot, hors l’humanitarisme va à l’encontre de cette citation de notre illustre prédécesseur.
L’infantilisation au lieu de la responsabilisation, l’éreintement en lieu et place de la paix de l’esprit, mais aussi la stigmatisation au sein de la société, le tout apportant un pouvoir absolu aux structures dites charitables sur ces êtres humains, obligés d’obéir, allant à l’encontre de leurs natures profondes, effaçant progressivement toute identité.
Notre société a donc créé une sous-humanité et il est du devoir de tout humaniste de tout mettre en oeuvre pour que cela cesse.
Merci de votre attention »
Je vous laisse donc, fidèles lecteur, bonne semaine et à bientôt.
達人 アントホニ
Canoë Story à Moret-sur-Loing
Salut à tous… Votre serviteur, Jimmy BARTHEL, revient pour vous faire partager une sortie-visite.
Notre Grande Organisatrice nous a encore une fois démontré qu’elle disposait de beaucoup plus d’imagination et d’ingéniosité que de crédits pour ses activités. Et elle a programmé une sortie « Canoé/Kayak », sur la rivière Le Loing, agrémentée d’une promenade dans la vieille ville de Morêt-Sur-Loing.
Arrivée à 8h30, le petit déjeuner, et départ à 9h15… Notre train était prévu à 10h49. Arrivés Gare de Lyon, ayant finalement un peu d’avance, nous avons pris le précédent, de 10h19… qui partait dans 9 mn !
Ca allait nous laisser un peu plus de temps pour visiter la ville, Moret-sur-Loing, dont Valérie nous avait déjà vanté les charmes pendant des heures lors de réunions précédentes, où elle s’est transformée en véritable professeur d’histoire-géo… Voyage très agréable dans le train, ambiance très décontracté… Et l’appareil photo de mon Samsung a commencé a faire son travail… Quelques photos des participants, dont Valérie, qui pourra ainsi compléter utilement son book si elle souhaite un jour changer d’orientation professionnelle…
Arrivée à la Gare de Moret-Sur Loing 45 mn plus tard. S’en est suivi une petite marche de 30 mn jusqu’au centre-ville… nettement à l’écart de la gare… Je plains ceux qui doivent se taper ce trajet tous les jours pour aller travailler ailleurs…
Traversée de la ville tranquille, ponctuée de pauses pendant lesquelles Valérie, toujours elle, tel un véritable guide, nous a expliqué l’histoire de chaque construction, celles-ci datant de l’époque médiévale. La vue sur les canaux laisse imaginer un paysage situé très loin de France. Pour ma part, en tant que non-connaisseur de tout ce qui est vieilles pierres, j’ai beaucoup aimé la porte d’accès à la vieille ville, vestige des anciens remparts.
Nous avons ensuite rejoint le bord de la rivière Loing, où nous avons d’abord goûté les joies du rester-allongé-les-yeux-dans -le-ciel… le temps qu’arrive la navette du loueur de canoës, qui allait nous emmener en amont. Un moment tant attendu par tous… Ou presque !
Oui, car Valérie a réussi héroïquement à me faire mettre la moitié d’une jambe dans l’eau… que j’ai trouvée glacée, et je me suis retiré en poussant un cri, pas très viril qui a amusé tout le monde.
Le loueur, très sympathiquement, m’annonce que l’eau n’est pas froide : «– Mais non, elle fait déjà 19° ( !!! ) »
Moi : «– 19° ? Mais la piscine des Halles est à 27°… Alors, désolé, mais le canoë, ça ne va pas être possible. »
Ben quoi, rien qu’à l’idée de recevoir des gerbes de cette eau très froide pendant plus de deux heures, brrr…
Finalement, nous sommes deux très courageux à être restés sur le bord. Sauf que moi, c’était uniquement par peur des éclaboussures d’eau glacée (mais puisque je vous dis que ça caillait dur, cette flotte…), et non par peur du canoë… Mise à l’eau, et départ. Une fois les canoës partis, la navette nous a raccompagnés au bord de la rivière, en centre-ville.
Croisière prévue : 2 h environ ! Le trajet réel a dépassé les 2h30 ! Croisière assez épique, avec des petits gags, style l’un des canoes a chaviré deux fois, avec Garfield qui a bu la tasse… Les chats n’aiment pas l’eau, c’est bien connu. Il se reconnaîtra… Vous allez me dire, je n’étais pas là, mais je suis toujours au courant de tout. C’est ça, la classe…
La journée s’est terminée assez (trop…) rapidement. Mais il en est toujours ainsi pour les bons moments… Train, direction Paris.
Avant le départ, Valérie nous a quand même invité à prendre une glace. Elle nous a mis l’eau à la bouche en nous annonçant très classe que c’était parait-il le meilleur glacier de la région… Juste avant de nous prévenir que ses crédits ne lui permettaient de nous offrir qu’une glace à une boule… Super sympa… MDR !
Jimmy BARTHEL
Cent dix-huitième
Réfléchissons… nous étions trois mille au départ
Un petit peu de nostalgie dans ce chaos
Pour tous, l’objectif est le même: sauver sa peau
Abandonnés, à cinq cents… n’est-il pas trop tard?
Ce n’est vraiment pas le moment de bayer aux… corneilles
La suite la semaine prochaine… Signé: Ecritor
Cent dix-septième
Lionnes hurlantes, elles avancent vers nous avec fracas
Quel charmant voyage, on continue en aveugle!
Celles et ceux qui sont dans les canots, maintenant beuglent
De la fumée, du feu; voilà bien des tracas…
Message de sécurité: « réunion de crise au poste de pilotage »…
La suite la semaine prochaine… Signé: Ecritor
Il fait beau, il fait chaud à Moret en canoë !
Mardi 23 août nous avons commencé à préparer le déjeuner. A 9h30, nous sommes allés au métro, après on change pour le train destination Moret-sur-Loing. Nous avons marché jusqu’à la ville et traversé la porte de Moret , la magnifique Moret, qui symbolise l’art de vivre.
La rivière est près de la porte médiévale de Moret et nous avons fait des photos devant la porte. Nous nous sommes installés au bord de rivière où on a pique-niqué comme des oiseaux .
Je crois qu’il faut plutôt se demander combien de temps a véritablement duré l’été ? C’est-a-dire la détente, le plaisir, et le bien-être, est-ce plus clair comme ça pour vous … ? Ce désir d’être là au bon moment, de passer un jour supplémentaire à aller à gauche, à droite, un à un, sur l’eau, d’avancer tout comment penser…
Il faut carrément une volonté acharnée et de la force pour savoir faire sur l’eau, on doit s’équilibrer et mesurer les précautions : mettre un gilet, ranger son portefeuille dans le bidon, suivre les explications du moniteur. Pour moi, c’est la première fois.
Ce temps privilegié pour nous de joie et bonheur et plaisir a fait que je me rappelle le bel exemple du bienheureux. Je suis content, j’ai bien aimé, c’est vraiment du bon temps et l’art de vivre le bien-être des loisirs…
Je veux remercier tous
guo en
Cent seizième
Il voit bien que l’on est dans une passe difficile
Ah ça, pour blaguer, il y a toujours du monde!
Les mains sur les boutons, son regard vif nous sonde
Du coup, le nom s’impose de lui-même: la « Gracile »
La troisième sera-t-elle franchie? Ah, suspense, quand tu nous tiens…
La suite la semaine prochaine… Signé: Ecritor
C’est la rentrée et…
Bien le bonjour, fidèle lecteur de ce blog, c’est la rentrée et après une longue période sans accès aux médias Français, c’est la déferlante, un raz de marée d’informations.
Pour commercer, les sujets qui fâchent, c’est la rentrée et le seul sujet dont il est question, c’est la sécurité des écoles, avec vigiles, exercices d’intrusion et tout le tremblement, pas d’instruction, seul sujet véritablement important en ce 1er septembre, Nice ma rattrapé un soir de 15 juillet dans le désert et cela semble être devenue une norme de vivre comme mes grand-parents en zone de guerre.
La deuxième, je ne fais pas le lien entre les deux, c’est ce débat qui semble agiter la classe politique française depuis quelques semaines et qui semble sensible ces derniers temps, le « burkini ».
Vis-je bien dans le pays du siècle des lumières, des Diderot, Voltaire et de la Marquise de Lambert ?
Notre classe politique devrait monter au créneau contre ce nouvel ordre moral qui émerge, ce débat n’existait pas purement et simplement il y a encore quelques années, revendications et comportements religieux de plus en plus outranciers prennent le pas sur ce qui fait l’identité politique et culturelle de la France.
La bonne nouvelle, il en faut une tout de même, est scientifique, c’est la découverte d’une planète dans la zone habitable de son étoile par les télescopes de l’ESO, à quelque quatre années-lumière de notre Système Solaire se trouve Proxima du Centaure et qui se trouve à proximité d’une paire d’étoiles très brillantes appelée Alpha Centauri AB avec une terre, baptisée Proxima b, qui effectue chaque 11 jours une rotation complète autour de son étoile hôte, dont la couleur rouge témoigne de la faible température de surface. Cette planète rocheuse est dotée d’une masse légèrement supérieure à celle de notre Terre et caractérisée par une température compatible avec la présence d’eau liquide en surface et donc potentiellement compatible avec la vie.
Je te laisse donc, fidèle lecteur, bonne semaine et à bientôt.
達人 アントホニ