Cent quarantième

Un éclair traverse telle une rafale de vent folle
En pleine nuit, nous nous regardons, interloqués
La peur arrive mais on fait face… les jambes arquées
Il revient, tranquille: surprenant… ce campagnol!

Signé: Ecritor

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :