jardin de saint-cloud de Paris
Le mardi 29/08/2017 a 14h, départ avec madame l’animatrice et les autre amis pour le château de Saint-Cloud. C’est un jardin à Paris avec beaucoup d’arbres mélangés et un grand terrain avec de la terre, du gazon . C’est un grand château comme celui du roi Louis 14 le châteaux de Versailles.
Dans le même jardin il y a des fantômes qui restent depuis longtemps . Nous, nous ne voyons pas les fantôme, mais les fantômes regardent nous . Le fantôme reste la nuit dans le jardin mais pas le matin, et juste le soir . Les gens viennent le matin et le midi pour rester un peu et retournent à la maison . Les fantômes sont hébergés dans une maison qui est vide depuis longtemps, comme la terre qui est vide où il n’y a rien, pas de gens, et comme le châteaux de Versailles par exemple .
Le Jardin de Saint-Cloud c’est magnifique et joli avec de belles couleur de fleurs et les bassins, et les fontaines très grandes . Dans le jardin les oiseaux jouent dans les arbres, les gens restent tous les jours de la semaine pour se reposer un peu et respirer avec les enfants. Le jardin a une belle décoration naturelle à gauche et à droite, au sud et à l’est, à l’ouest, au nord . C’est la première fois que je le vois et j’aime le jardin de Saint-Cloud, il est calme et silencieux physiquement et moralement, les gens y fait le sport, et les enfants sont joyeux de jouer ensemble. Le jour que je reste au jardin c’est un magnifique jour, j’ai dormi un peu et j’avais soif alors j’ai bu un coca-cola et j’ai fait un tour dans le jardin qui est très grand et très joli . Je veux remercier l’animatrice, c’était unr surprise pour sorti ensemble avec les amis.
NOUREDDINE
La Ballade de l’Escargot.
Avec ma coquille sur les épaules (que d’aucuns prétendent baptiser: »Sac-à-dos »), il m’arrive, au hasard de mes pérégrinations citadines, de me retourner subrepticement, à seule fin de m’assurer de ne laisser derrière moi aucune trace argentée, brillant au soleil.
Mais non, nulle matière gluante à déplorer…
Pourtant ce n’est pas faute d’en baver…
Mais, basta! Inutile de larmoyer! Au reste, c’est inefficace et tout à fait improductif.
La preuve: Parfois, je tente d’apitoyer le quidam de passage en lui confiant tout de go: « Je suis orphelin! »
Peine perdue!..
Un orphelin de soixante ans, n’intéresse personne!
A l’inverse, si vous lui annoncez, un sourire radieux vous illuminant le visage, que vous êtes heureux, vous vous faites sur l’instant un ennemi mortel!
Qu’il baigne, pour sa part, dans une félicité sans borne bien supérieure à la votre ne changera rien à l’affaire…
Ben dame… Vous connaissez le proverbe:
– « Il ne suffit pas d’être heureux encore faut’il que les autres ne le soient pas! »
Aussi, ne voulant prendre aucun risque, je me contenterai donc de vous dire à tous:
– « Pour moi, ça baigne!.. Mais, je ne sais pas au juste dans quoi! »
Bosco57
Cordon-bleu astronomique
Nous avons visité le grand bâtiment du Cordon Bleu, chef cuisinier international, chef parmi la gastronomie de France, premier chef pâtissier, premier chef boulanger, … Ils nous ont présenté l’art culinaire, l’art de faire la cuisine française, présenté un statue de rhinocéros en chocolat. Puis on a visité de grandes salles : la salle où on déguste les vins, avec la réserve, la cave, après les cuisines, là où se fait l’apprentissage pour préparer les plats, avec tout le matériel, les fours. Après quelques années les gens reçoivent un diplôme officiel de cuisinier de gastronomie française. C’est un travail difficile, pour apprendre à faire un gâteau, tailler le chocolat pour qu’il soit plus beau, … C’est facile de faire un gâteau mais pas facile de faire un gâteau gourmand !
Ensuite on va dans une autre grande salle où on nous présente pour déguster des chocolats de 70% de cacao et 38% de cacao, l’un est un peu amer l’autre est plus sucré, plus doux, accompagné d’un verre d’eau ou de jus d’orange.- seulement, pas de vin ni de Champagne … on est un peu jaloux ! On a mangé aussi des petits gâteaux délicieux… et pour terminer on a acheté des petits pains chorizo, fromage, … le goût est vraiment chorizo et vraiment fromage !
C’est un endroit magique pour les gourmands !
Merci à la directrice du Cordon Bleu,
Guoen
Donnons du temps au temps!..
– En avoir ou pas…
– Quoi?.. Du temps?..
– J’en ai…, et même à revendre!..
– Alors, tes affaires vont être bonnes…, les gens n’ont plus une minute à eux…,
ils vont venir se fournir chez toi!
– Hem…, j’en doute. Nous vivons un temps où les gens veulent tout pour rien. Alors…
D’autant que la paranoïa ambiante fait des ravages!.. Donnes gracieusement une chose de valeur,
et ben…, ils te tournicotent autours, dubitatifs en diable, en se demandant où est le piège!
– Tu me semble bien pessimiste…
– Hein? Oh, non… Je fais de la délectation morose!..
– Bah… On a tous quelque chose…, moi, tu vois, j’fais de l’emphysème.
(Hou, j’avais pas vu l’heure) Allez, à la revoyure…
– C’est ça… à plus!
bosco57
A propos du décès de Mireille Darc.
On dit rarement merci à ceux et à celles qui nous ont fait du bien. Combien ai-je laissé partir, ainsi, d’amis,
de parents « faiseurs-de-bien », en silence?… Sans leur avoir témoigné au préalable ma reconnaissance
pour m’avoir prodigué de si nombreux instants de bonheur.
Je ressent maintenant, à l’occasion du décès de Mireille Darc, l’irrépressible besoin de lui dire « Merci » et
de le dire aussi à tous ceux et à toutes celles, qui sont encore aptes à ouïr ce Merci qui vient du cœur et de
mes zygomatiques:
– à Alain (Delon)
– à Jean-Paul (Belmondo)
– à Danielle (Darrieux)
– à Jean (Piat)
– à Gérard (Depardieu)
– à Roland (Giraud)
et à tant d’autres…, que j’implore de bien vouloir pardonner mon manque de persévérance!..
bosco57
Cent soixante-huitième
En attente…
Signé: Ecritor
journée à la campagne/canoë
Mercredi 23 août 2017, RV 9h pour départ à 9h20 impératif avec les amis mr Laurent et mr Gilles, mr Frank, mr Igor, mr Christian, mr Christiano, madame Valérie, mr Abderahim, mr Mathurin, mr Guo. Je monte dans le métro ligne 8 Felix Faure jusqu’à madeleine puis ligne 14 jusqu’à Gare de Lyon .Départ 10h 19 Gare de Lyon arrivée 11h 16 Bourron -marlotte -Grez et marche de la gare jusqu’au point de pique-nique au bord de l’eau ;3.5 km,dont la moitié sur des chemins. Canoë départ à 14h, pour une descente en canoë 2 places de 10km sur la rivière le Loing . Je suis monté dans le canoë avec mon ami Christiano et les autre amis . Parcours calme et très joli d’environ 2h 30 de Grez à Episy.
J’ai pagayé sur la rivière qui est très belle. J’ai vu des arbres qui tombent dans l’eau, des ronces, des papillons, des libellules, des poissons. Il y avait même des chevaux qui buvaient dans l’eau. D’autres gens, des dames, étaient aussi dans des canoës, c’était joyeux ! Le canoë c’était difficile, il bouge beaucoup, il est fragile et ça glisse. C’est dangereux car on peut tomber dans la rivière qui est glacée. Mon ami dans le canoë était énervé parce qu’il y avait de l’eau dans sa basket et parce que le canoë qui bouge lui fait peur de tomber dans l’eau. Et moi aussi j’ai eu peur de tomber dans l’eau ! Et puis le canoë va à droite, à gauche et on avance pas dans l’axe. C’est la deuxième fois que pars pour cette expérience, pour nager avec le canoë.
Les autres amis sont restés au bord de l’eau, pour ceux qui ne souhaitent pas faire de canoë. Pour le canoë j’ai un maillot de bain +tee-shirt de rechange +serviette et sac à dos obligatoire pour porter le sandwiche pour manger ensemble, le pique-nique plus ses affaires .
Le souvenir de cette journée : c’était bien physiquement, moralement, je suis très content. C’était une surprise d’arriver à faire du canoë !
Pour le retour tous les amis marchent dans la forêt ensemble avec le sac-à-dos comme les touristes sans Frontières !
NOUREDDINE
Bocages…
Le canoë?.. C’est aquatique, c’est sympathique, c’est… pathétique!..
Le tout…, c’est d’y arriver!
Le canoë, paradoxalement, c’est avant qu’on patauge, un peu après, aussi, bien sûr…, et pas mal pendant, surtout quand un rescapé du cuirassier Potemkine a décidé de s’en mêler!..
– Glup; beurp; slurrp; brouff… Le plus important, dans la marine comme ailleurs, c’est de bien maîtriser le vocabulaire, question de compréhension!..
D’autant plus qu’avec le canoë, on a vite fait de se retrouver entre deux eaux…, ce qui eut été salutaire pour certain, qui préféra malheureusement rester entre deux… vins.
Délaissons pour un temps la caustique plaisanterie et allons nous vautrer, toute honte bue (hic),
dans le bucolique, le champêtre et les verts bocages.
Laissons-nous glisser mollement le long des berges, escortés de dizaines de libellules, épiés par les canards et surveillés de près par une escouade de Cygnes.
Ayons, néanmoins une pensée émue pour ces riverains dont la tranquillité vola en éclat à chacun de nos erratiques coups de rames.
Afin de restituer de la manière la plus exacte qui soit ce que me fit ressentir l’ensemble de cette journée, il me faut user maintenant d’un adjectif, que j’hésite, néanmoins, à employer, tant son usage abusif en a affadit le sens: « sensationnel. »
Oui, ce Loing, (qui s »éloigne d’autant plus que le voyage se fait erratique), satisfait (et au delà) vos cinq sens, sans en oublier un seul.
La vue: Pour peu que le ciel, y mette du sien, la végétation coincée entre l’azur et le miroir des eaux, se fait Kaléidoscope, pour faire entrer toute une galaxie d’étoiles dans vos prunelles, qui n’en demandaient pas tant.
L’ouïe: Sans que l’on ne s’en aperçoive au premier regard, toute une faune est là, qui vous scrute, cancane, et vous épie sans relâche, tandis que les poissons, au stoïcisme légendaire, s’expriment sans mot dire, tout en glougloutant des nageoires.
L’odorat: On sent, mais…, on sent bien, qu’ici la voiture n’a pas le droit à la parole, et votre sens olfactif en est fort simplement content!.. Ce qui n’empêchent pas, néanmoins, quelques parcelles de vase croupissante de vous adresser malicieusement un grassouillet sourire, aux douteux arômes, tout en vous souhaitant, l’air de rien: bon voyage!..
Le toucher: Le canoë avance…, glisse nonchalamment sur l’onde (la rivière et la mer, sont les domaines réservés des poètes), et vous laissez vos doigts avoir la sensation de dériver tout au long du courant, jusqu’à ce qu’un paquet d’algues baveuses vous les attrapent et vous électrisent, en vous induisant une question sans réponse: « Qu’est-ce donc?.. » Effet garanti!!
Et le gout, alors…, me direz-vous? Ben, pour le goût, c’est assez simple… Vos gustatives papilles, sauront parfaitement vous instruire de tout ce que vous ignorez encore sur le sens de l’expression: « boire la tasse. » Il vous suffira pour cela que votre embarcation se retourne, la chose ne fait pas partie de ce que l’existence nous réserve en général de plus compliqué.
D’autant plus que votre canoë, pour peu que vous lui demandiez gentiment, n’aura aucune raison de vous refuser ce petit service!
Bosco57